▌rodenburgh

PSEUDO · ♣ dreams are my *reality*

RODENBURGH'S

‘‘ on ne peut pas être sans crainte quand on inspire la crainte. »

Georges Matthew Rodenbugh

robert downey jr

(libre)

Katerine Jane Rodenburgh-Nyles

charlize theron

(libre)

Acibellia Kathleen Rodenburgh - candice accola (prise)

Evan Austen Rodenburgh

alex pettyfer

(libre)

informations diverses

→ descriptions du groupe des rodenburgh ici.
→ il est possible de rajouter des membres à la famille (cousins, tantes, frères, soeurs, ect) mais consultez moi avant partie invités.
→ les prénoms et deuxièmes prénoms sont tout à fait négociables -c'est pas comme si c'était mes personnages- prenez juste le temps de me le dire quoi
→ les avatars sont négociables mais idem, j'aimerais être consultée avant.
→ si vous souhaitez changer quelque chose à l'histoire, aux liens, ect, n'hésitez pas, de même que si vous avez une question, envoyez moi un mp ou postez partie invités!
→ merci vraiment pour prendre un de ces scénarios, j'espère que vous serez bien actifs

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PSEUDO · ♣ dreams are my *reality*

RODENBURGH, GEORGES MATTHEW

cinquante ans ∞ rodenburgh ∞ marié
L I B R E ∞ ROBERT DOWNEY JR

HISTOIRE ET INFORMATIONS

Fin fond du Texas, dans un village ne comptant pas plus d'une centaine d'habitants dont la moyenne d'âge est à peu près égale à 70 ans. Un paradis pour un enfant, n'est-ce pas? Et bien ce serait plutôt l'enfer de Georges. Il a grandi dans ce trou profond du Texas, appelant chaque vieille personne tonton ou tata, se faisant offrir pancakes et muffins et cookies comme s'il en pleuvait, et pourtant, bon dieu qu'il détestait cet endroit. Ses parents y avaient déménagé avant qu'il ne naisse, il ne savait pourquoi. Aujourd'hui, il savait que sa mère avait besoin du climat du Texas pour se porter au mieux qu'elle pouvait, sinon, toute cette petite famille serait restée à Viewston, là où sont tous leurs ancêtres. Son père était un homme très dur, il l'était autant avec sa femme qu'avec son fils. Mais jamais, au grand jamais il n'aurait levé la main sur l'un des deux. Le père de Georges était très exigeant avec lui, et si jamais il ne le battait, les punitions étaient très courantes, et affolaient Madame Rodenburgh. Elle était fragile, maigre et frêle, et pourtant toute la bonté du monde était dans ce corps pù la peau ne faisait que recouvrir les os. C'est d'amour qu'elle mourut. Trop préoccupée par les autres que par elle-même. Cette mort affecta grandement Georges, et c'est principalement à cause de cela qu'il a tant de difficulté avec la parole. Si cette mort provoqua la moindre douleur à son père, il ne remarqua rien et c'est de là que naquît sa haine pour son père et son voeux de partir le plus loin possible de cet endroit. Et c'est ainsi qu'il mit toute sa haine dans ses voeux, et qu'il s'en alla loin de ce Texas détesté pour ses études. Il rencontra Kate, et ils fondèrent une famille. La nostalgie et la curiosité poussa les deux jeunes mariés à venir s'installer à Viewston, et ce n'est pour rien au monde que Georges retournait dans son Texas, de plus, il y a tellement d'affaires croustillantes ici, et il a d'ailleurs découvert les journaux intimes de tous les anciens Rodenburgh.

WE USED TO BE FRIENDS

Monsieur Rodenburgh et les relations, ah! laissez moi rire. Disons, que ce charmant Georges, qui préfère qu'on l'appelle Henry, n'a jamais vraiment eu une facilité à la discussion. Et que donc, les quelques relations qu'il a pu avoir n'ont pas été bien concluantes, et qu'à chaque fois qu'on le mettait face à un problème ou une situation où il devait s'expliquer, il a plutôt fini par casser un vase ou mettre de la musique. Une vraie catastrophe. Alors imaginez-le, lui, marié avec une femme et des enfants. Oh, quand ils étaient petits c'était le meilleur papas du monde et il savaiit y faire, il n'y a pas à dire. Mais maintenant qu'ils ont tous grandis, il est juste le plus con des pères. Alors, il a quelque peu coupé les discussions avec ses enfants, ne leur demandant que quelque fois comment s'est passé leur journée, et ca lui suffit. Il n'y a qu'une personne qui a toujours compris Georges, c'est sa femme, Kate. Ou presque. Elle l'a toujours compris, mais, cela n'empêche pas leurs enfants de les voir se disputer, même si, à vrai dire, leurs disputes sont plus comiques qu'autre chose. Ils se disputent comme de vieux enfants, chacun tellement borné qu'il ne veut admettre qu'il a tort, alors que les deux ont tort. Une image qui illustre parfaitement la manière dont Henry s'y prend avec les problèmes, les discussions ou les personnes. De toute évidence, pas de la meilleure des façons.

PSEUDO · ♣ dreams are my *reality*

RODENBURGH-NYLES, KATERINE JANE

quarantaine ∞ rodenburgh ∞ mariée
L I B R E ∞ CHARLIZE THERON

HISTOIRE ET INFORMATIONS

Jeune, Kate était très secrète, discrète et renfermée, elle gardait tous ses secrets pour elle et ne partageait rien. Sa beauté naturelle, et le fait que malgré tout elle n'en était pas vraiment consciente, elle attirait beaucoup le regard des garçons, mais tous ne souhaitaient qu'une chose et qu'elle ne souhaitait pas. Le garçon qu'elle ait rencontré un jour qui eût été différent est son mari, avec qui elle a fondé une famille désormais. Fille d'un riche industriel et d'une ancienne mannequin, ses parents ont très mal supporté le fait que leur fille aînée, celle qui était destinée au plus bel avenir, décide de se marier à un garçon ni riche ni d'une grande famille. Après quelques années, ils ont pourtant décidés de lui pardonner mais lorsqu'ils viennent rendre visite à la famille à Viewston, ils restent très froids et très distants, ce qui fait rire Dylan et son frère, ainsi que leur père mais moins Kate car ses moments lui rappellent ceux de son adolescence. (le reste de l'histoire est libre, veillez toutefois à concorder l'histoire avec celle du mari pour la rencontre, ect.)

WE USED TO BE FRIENDS

Katerine est la meilleure des mères qui soit. La meilleure des femmes aussi. Et puis des tantes. Et des marraines et des tout ca tout ca. Elle est presque parfaite, presque. Elle s'est toujours occupée de sa famille comme si sa vie en dépendait. Attentionnée auprès de son mari, de ses moindres besoins tout comme à ceux de ses enfants, d'une manière donnant presque l'impression qu'elle pouvait lire dans leurs pensées. Jeune, elle était très discrète et renfermée, bien que sa beauté naturelle attirait beaucoup le regard des garçons, qu'elle ne voyait pourtant pas.
ϟ Entre elle et son mari il ne pourrait y avoir d'amour plus vrai, plus amoureux
ϟ Elle s'entend très bien avec sa fille, et est très proche d'elle, bien que cette dernière reste très secrète sur des sujets comme ses amours et autres. Toutes deux se disputent régulièrement mais juste comme ça, le temps de quelques minutes, le temps d'exploser les tensions
ϟ Kathy et son fils, c'est comme chien et chat -en admettant qu'un soit un adulte et l'autre un enfant. Il ne comprend pas que sa mère l'aime tellement qu'elle le pouponne, il aimerait juste être seul presque tout le temps.Cependant, il aime sa mère et elle le sait. Cela ne se voit pas mais tous deux le savent, c'est ce qui compte, tout comme les tranches de tomates que Kate met dans les sandwichs de son fils, car elle sait que c'est ce qu'il aime le plus dans les sandwichs.

PSEUDO · ♣ dreams are my *reality*

RODENBURGH, ACIBELLIA KATHLEEN

vingt-quatre ans ∞ rodenburgh ∞ they say they're friends
P R I S E ∞ CANDICE ACCOLA

HISTOIRE ET INFORMATIONS

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WE USED TO BE FRIENDS

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PSEUDO · ♣ dreams are my *reality*

RODENBURGH, EVAN AUSTEN

vingt-deux ans ∞ rodenburgh ∞ situation au choix
L I B R E ∞ ALEX PETTYFER

HISTOIRE ET INFORMATIONS

Evan a toujours été, dès sa plus jeune enfance, L'enfant avec un L majuscule pour l'article. Brillant? Non, pas exactement. Charmeur? Oui. Possédant du charisme? Bingo. C'est son sourire qui les faisait tous craquer, parents, amis, filles; et c'est ce sourire lui donnant des airs d'ange qui lui a permit d'en être là où il en est, c'est-à-dire en train de suivre des études brillantes (libres, celles que vous voulez) et faisant un petit boulot à côté, histoire de (libre aussi). Cette situation d'enfant prodige ne l'a jamais vraiment ennuyé, au contraire il avait des muffins aux pépites de chocolat et des pancakes rien qu'avec un sourire, pourtant, à l'adolescence -si, si, vous savez ce moment où les jeunes se mettent à faire tout genre de connerie et à taper dans les murs pour de la chantilly sur leurs fraises tout cela en ne faisant rien de leurs journées à part traînasser sur ce qu'ils appellent un ordi, moyen de communication alors que la communication avec la famille est tout à fait rompue- et bien, c'est à ce moment là qu'Evan a perdu son auréole pour un peu tout le monde, sauf les vieux de la ville. Il sortait tard le soir, organisait des soirées où alcool, sexe et parfois drogue n'étaient pas inconnus, et sa moyenne scolaire atteignait avec brio 7 ou 9,1. Ne croyez pas que ses parents n'ont rien fait, au contraire ils ont tout fait pour l'aider mais ce n'a pas payé. Si Evan a changé depuis, c'est seulement à cause -grâce- de l'accident de son meilleur ami en voiture. Alors que James -son meilleur ami- était tout à fait bourré lors d'une soirée, il a insisté pour rentrer chez lui en conduire certaines de ses amis à l'autre bout de la ville. Il a eu un accident et trois jeunes dont lui ont été tués sur le coup ce soir là. Un mois après, une jeune fille -l'ancienne copine d'Evan- succombait de ses blessures à l'hôpital, sans être sortie d'un coma permanent. Cet accident a bouleversé Evan, et c'est à partir de ce moment qu'il a retrouvé les rangs de l'école et la voie de la raison. Oh, il touche tout de même à l'alcool parfois, mais les abus sont rares, et il a d'ailleurs sur un des murs de sa chambre des articles de cet accident qui avait fait la une des journaux de Viewston, histoire de se rappeler ce que ça coûte d'être jeune et de se prendre pour Superman.

WE USED TO BE FRIENDS

Evan a beaucoup d'amis. Plus de six cent sur facebook. Sinon, dans la vraie vie, sûrement moins que cinq, mais c'est pas grave. Oh, il a beaucoup de "buddies", d'amis avec qui sortir mais en tant que vrai garçon, personne à qui se confier, à part peut-être sa soeur. Il ne collectionne pas les filles, mais il aime bien en avoir toujours une avec lui en soirée, et si un jour vous lui demandez ce qu'est l'amour, c'est avec un air très concerné qu'il vous parlerait de ses sentiments pour les matchs de rugby, les bières et les soirées entre potes. Un spécimen comme tant d'autres en somme.
ϟ Kathy et son fils, c'est comme chien et chat -en admettant qu'un soit un adulte et l'autre un enfant. Il ne comprend pas que sa mère l'aime tellement qu'elle le pouponne, il aimerait juste être seul presque tout le temps.Cependant, il aime sa mère et elle le sait. Cela ne se voit pas mais tous deux le savent, c'est ce qui compte, tout comme les tranches de tomates que Kate met dans les sandwichs de son fils, car elle sait que c'est ce qu'il aime le plus dans les sandwichs.
ϟ Evan et son père, c'est une complicité père-fils étonnante et détonante. Comme deux vieux amis, enfait. Ils se crient dessus et regardent ensuite un bon film ensemble, avec une bière, histoire de faire passer les tensions.
ϟ Evan et sa grande soeur, c'est comme si en vérité il était le grand-frère. D'une certaine manière il l'a toujours été, là pour la tenir dans ses bras chaque fois que les poissons rouges d'Acy mourraient, et à lui essuyer ses lorsqu'elle avait des peines de coeur. En retour, elle a toujours été celle qui lui ramenait des bouteilles de vodka en cachette pour ses soirées, lorsqu'il n'avait pas l'âge d'en acheter et celle qui cachait ses magazines trop indécents sous son matelas alors qu'il oubliait de le faire.